lundi 26 janvier 2015

Ergonous 2ème partie

Bonjour à tous et à toutes ! Je suis désolée pour le dernier post du lundi mais j'étais pas chez moi de la journée et le soir j'étais plutôt débordée par des devoirs et révisions de contrôles ^^ 

Voici la suite d'Ergnous, je n'ai pas pu beacoup écrire, mais je m'y  remets :)
Pour se rappeler, Matt et son père, M. Dentsangui, viennent d'arriver à Ergonous. Eux mêmes viennent de Flacksy, la ville haïe des habitants. Ils sont les nouveaux propriétaires du manoir de la forêt, manoir où c'est pendu un homme il y a dix ans, et depuis qui n'a jamais été habité.... Sinon, allez lire le début ici -> 1ère partie, ou le début, d'Ergonous !

EDIT : Titre modifié 

Les deux hommes arrivèrent alors au deuxième étage, celui des appartements privés. Le jeune garçon se précipita alors du côté droit mais son père le retint par le col et l'envoya alors du côté gauche :
" Tu choisis l'une des deux, l'autre sera pour ta sœur...
-    D'ailleurs quand arriveront elles ?
-    Demain, la route leur aura été longue. Quelle idée de prendre la voiture ...
-    Mais vous aviez vous même dit que notre oncle voulait les voir avant qu’elles montent ...
-     Oui, allez va regarder les chambres. »
Le silence reprit le manoir, Matt ouvrit la première porte et découvrit une pièce spacieuse éclairée par deux grandes fenêtres. Des rideaux pendaient tristement et dans la cheminée s’engouffra un petit vent. Il posa pour le moment sa malle et sortit afin de regarder dans la deuxième chambre. A peine mit-il le pied dedans qu’il compris qu’elle serait sienne. De taille moyenne, la pièce était à l’extrémité de la maison et formait le coin. Les deux fenêtres de part et autre du mur offraient deux vues différentes. Une sur le jardin et l’autre sur les arbres de la forêt. Il y avait un arbre qui se tenait devant la fenêtre qui donnait sur l’arrière, c’est-à-dire sur la forêt, dont les branches épaisses atteignaient le rebord de la fenêtre. Bien sur les deux pièces étaient dans un état misérable, pratiquement dénuée de tout meuble. Retournant dans l’autre chambre pour récuperer sa valise, il découvrit la fenêtre de gauche grande ouverte. A ce moment il y eut un mouvement furtif à ce niveau et Matt aurait juré voir quelqu’un partir de là, mais une fois à la fenêtre, il n’y avait personne. Ni en bas dans le jardin, ni sur les côté. Et pourtant, s’il avait fait plus attention, le jeune garçon aurait pu voir une main accrochée à la gouttière avec deux yeux noirs l’observant. Matt referma la fenêtre d’un coup sec et prit sa valise pour l’emmener dans sa nouvelle chambre. Une fois dans la pièce, il voulut l’aérer, mais il eut beau tourner le loquet dans tous les sens, il n’y parvenait pas.

            Après avoir abandonné, il déblaya la pièce jetant les vieilleries dans un coin de la pièce, proche de la porte. Il avait déplacé le lit à sa manière, et ayant trouvé un balai derrière la porte de l’escalier de service, avait enlevé l’épaisse couche de poussière qui dormait ici depuis des années. Une fois cela finit, il sortit dans le couloir et essaya de se rappeler les pièces dans lesquelles il passait la tête. Une fois monté au troisième étage, il explora encore les salles. L’ancienne salle de jeu qu’il avait aperçut sur le plan jaunit était intacte. Rien n’avait changé de place. Matt arriva sans mal à imaginer le jeu qui était en cours… Un jeu dans le style western puisqu’il y avait un personnage allongé sur les rails et le train était sur ces mêmes rails. Au fond de la pièce, à côté des fenêtres donnant sur l’allée, il trouva des poupées.

Passage pas très long, mais c'est le peu que j'ai pu écrire pendant mon temps libre ^^

J'espère sinon que vous allez tous bien, que pour vous les étudiants vos partiels se sont bien passé et vous collégiens ou lycéens que vous travaillez bien et que vous avez de bonnes notes. Quant à vous adultes, que votre boulot vous plait...

Je vous dis à la prochaine, c'est-à-dire à lundi prochain avec peut être la suite :)

L.

lundi 12 janvier 2015

La Marche

Bonjour à tous et à toutes...

Ce qui tombe bien c'est que 1) il s'agit du post du lundi et 2) c'est encore en rapport avec les derniers événements mais il s'agit de notre Liberté, celle de s'exprimer et, moi je m'exprime !

La Marche

Un dimanche unique
Historique
Qui restera gravé à jamais 
Dans nos cœurs et dans nos esprits 
On est et on restera Charlie
On est et on restera unis

Le 11 janvier
C'est déroulé 
La Marche Républicaine 
Rassemblant des milliers et des milliers
D'hommes et femmes
Défendant la Liberté 
A Paris 
De la place de La République 
Jusqu'à la place de La Nation
Des places qui tiennent bien leur noms
De Strasbourg, à Lille, de Marseille à Lyon
De Londres à Moscou, de Rome à Bruxelles

On a dit Merci aux Policiers 
A la Gendarmerie
Qui risque sa vie 
Pour nous.

On a rendu hommage 
Aux morts,
A ces dessinateurs, 
A ces policiers
A ces juifs
A vous ;

Philippe Braham, Frédéric Boisseau
Cabu, Charb
Elsa Cayat, Franck Brinsolaro
Yohan Cohen, Yohav Hattab
Honoré, Clarissa Jean-Philippe
Bernard Maris, Ahmed Merabet
Mustapha Ourrad, Michel Renaud
François-Michel Saada
Tignous et Wolinski. 


Enfin, voilà... Je vous dis aussi que j'ai acheté un "petit carnet" pour pouvoir écrire la suite d'Ergonous au lycée et tout autres endroits... 
Je vous salue,

samedi 10 janvier 2015

Je suis Charlie - poème

Bien le bonsoir tout le monde, le journal de mon lycée fait une édition spéciale Charlie Hebdo donc, voici le poème que j'ai écrit à cette occasion...


Ils ont voulu tuer la liberté
Ils sont morts dans une imprimerie
On a tous eu une forte impression 
On a eu une tuerie, que dis-je, une boucherie.

Le 7 janvier 2015, un mercredi 
Gravé à jamais chez Charlie
Et chez nous, nous citoyens
Enfants, adultes, et vieux
Des larmes ont jailli des yeux 
Mais la colère nous a emplit
Mais rien, oh non, rien
Nous empêchera de chérir, proclamer 
Notre LIBERTÉ tant aimée.

Touchant l'encre, nos larmes
Deviennent des armes, nos armes 
Les stylos, les crayons
Forment et formeront nos bataillons
Charlie que nous sommes tous
Tous au nom de la Charliberté
Je suis Charlie, et nous sommes tous
Charlie.

Voili voilou.... 
#JeSuisCharlie #RIP #07.01.15

jeudi 8 janvier 2015

#JeSuisCharlie

Bonsoir chers amis, j'aimerais réagir par rapport à l'attentat de Charlie Hebdo.

Cet attentat a porté atteinte à notre liberté d'expression. Notre liberté... Je vais sûrement répéter ce que vous lisez, voyez, entendez partout MAIS, Charlie Hebdo était libre de penser, de tolérer, de CARICATURER ! Il s'agit de la liberté de presse. Notre liberté.
Ils ont voulu mettre à genoux la France, ils l'ont mises debout et unie !

RIP Cabu, Charb, Wolinsky et Tignous, mais n'oublions pas Honoré et tous ceux qui sont morts ainsi que les policiers. Une pensée aux familles et aux proches. 

Ce n'est pas parce que vous êtes armés que nos crayons, stylos ne seront rien contre vous... La liberté est la notre ! 

#JeSuisCharlie -> #NousSommesTousCharlie

lundi 5 janvier 2015

1er lundi de l'année !!

Eh, bien tout de même, je vous l'avais dit que je tenais mes promesses !
Certes j'avais un Post-It dans ma trousse pour me le rappeler mais vous verrez au fur et à mesure ce sera automatique !

Je n'ai malheureusement pas de suite pour Ergonous, étant en train d'établir la trame, et des approfondissements détaillés chez les personnages... J'aurais bien aimé que vous, qui lisez, postiez des commentaires, ça m'aiderait vraiment. Dites ce que vous en pensez, des critiques, ce que vous espérez pour la suite... Certes je le fais lire en Noir sur Blanc à mon entourage, mais c'est quand même intéressant d'avoir des avis de personnes inconnues pour moi. S'il vous plait, vraiment.

Donc après cette faveur que je vous demande, je vous donne deux poèmes faisant partie des thèmes du journal de mon Lycée ^^

BOUTEILLE A LA MER 

Bouteille vide
Oubliée sur le sable doux, 
Une heure et voilà une guide
Tu es alors trimballée sans courroux
Et toi, espérant aller sur une 
Ile alors que tu es là
Là sur la dune de Ka
Et voila une feuille en Toi !

Ah ! Joie te voilà !

La Liberté viendra
Ah vivement la mer !

Mère des maires des mers
Et là, ce liquide salé !
Rien de mieux pour la Liberté !

Peut être que si j'ai le temps j'ajouterais un jour de post mais c'est pas sur car ça serait un peu galère ^^

Guignol est mort !

Quelle horreur ! J'ai une mauvaise nouvelle ...
Les gars, un malheur est arrivé
Nous sommes en deuil, il faut tout laisser ..
Guignol est... est mort !
Juste mort ou assassiné ?
Nous ne le savons pas, mais
Guignol est mort !
Et je suis certain qu'il fut tué !
Par qui ? Mr Nomets ? 
Ou le baron d'en face ?
Je ne sais rien mais je me tais
Car Guignol est mort
On a déjà joué son sort.

Bon voilà.... 

J'espère que le post du Lundi vous a plût... 

A la semaine prochaine ou dans la semaine. 

Oh et passez une bonne épiphanie demain, devenez Reine ou Roi ! Et pour les autres cultures, sachez que mercredi est le Noël Russe :3 

Donc voilà
Ciao
Ma signature ^^ 

dimanche 4 janvier 2015

Ergonous - 1ère partie en entier ;)

Bon bon ... D'accord je n'ai pas publié avant car je profitais encore un peu de mes vacances en regardant des films et tout ça... 

Voici le tant attendu Ergonous : 

Un train passa, ébranlant le quai jusqu’alors silencieux. Voilà des années que les trains ne passaient plus dans la jolie gare d’Ergonous… La SNCF avait dévié ses trajets et dès lors, cette gare où certes, peu de personnes descendaient ou montaient, devint désaffectée.
Ergonous était une petite ville où on se connaissait tous. Paisible et calme, elle vivait à sa manière, elle avait établie son propre moyen de survie sans contact avec la grande ville Flacksy à des kilomètres de là. Cette paisibilité fut ébranlée quand ce train entra avec difficulté dans la gare. Ce même train fit alors sonner l’alarme dans le bureau du chef de gare et dernièrement celle du maire.
Seule Mayla venait encore dans la gare, cette vieille bâtisse abandonnée. C’était son refuge. Elle lisait encore un de ces romans de l’ancienne boutique quand l’alarme la fit sursauter, ne l’ayant jamais entendu. La jeune fille lâcha son livre qui tomba dans un grand fracas et courut jusqu’au quai. La pendule, que la jeune fille remontait par pur plaisir, affichait 13  heures 13. La fille se rappela qu’en traversant le couloir, le calendrier était sur vendredi 13. Elle souri en voyant cette coïncidence. Enfin le train s’arreta et la porte du treizième wagon s’ouvra, laissant sortir une grande silhouette, digne d’un géant avec sa valise ressemblant plus à une malle. Derrière elle, une autre silhouette semblable, seulement plus petite. Ceux deux individus, qui étaient des hommes s’approchèrent et le grand demanda :
« Vous êtes la fille du chef de gare ?
Mayla souri et éclata de rire : 
- La fille du chef de gare ? Moi ? La fille de Mr Pinson ? La bonne blague - en voyant leurs airs sérieux elle déglutit – Pardon… Non, Mr Pinson, qui était le chef de gare est mort deux ans après la fermeture des voies. Personne ne l’a remplacé puisque cela ne servirait à rien. Il n’y a que moi qui m’occupe encore de la gare pour … moi même. »
Devant leur tête disant clairement qu’ils ne comprenaient rien, elle commença à tout leur expliquer tout en les menant de l’autre côté du bâtiment. L’homme lui paraissait hautain tandis que son fils, à ce qu’elle comprit, avait l’air un peu macho mais qui se dégonflait un peu en voyant le paysage de la ville. Elle apprit qu’ils étaient les nouveaux propriétaires du manoir de la forêt. Voilà 10 ans que personne n’y habitait malgré la beauté intérieure de cette masure. La légende du fantôme du dernier propriétaire M de Hautsommet qui s’y était pendu, court toujours, comme quoi il hanterait cette maison. 
Toutefois la fille s’abstint de leur dire et leur montra le chemin. Mais M de Dentsangui l’obligea à les accompagner. Quand elle traversa la ville, elle comprit que le maire avait donné l’alerte, elle sentait de nombreux regards sur elle. Déjà que les enfants de son age ne l’appreciait pas beaucoup, le fait qu’elle introduise « deux ennemis de la Grande Ville » comme disait le Maire, va lui ajouter un certain regard, et pas forcément positif. Mayla était l’orpheline de la ville. Sa famille d’accueil était à présent vieille et la jeune fille vivait chez eux seulement pour les repas et la nuit. 
La masure s’éleva enfin au bout d’une allée que l’on pouvait imaginer, couverte de feuilles et on n’arrivait pas à la distinguer de la forêt. L’homme sorti un trousseau de clé et en essaya alors plusieurs avant de trouver la bonne. La porte s’ouvrit dans un couinement digne de ce nom. Et dès lors, la fille en eut la bouche bée. Avec des compagnons de fortune, elle avait déjà été dans de différentes pièces de la maison, celle accessibles par les fenêtres, mais jamais elle n’avait vu le hall. Il était digne de celui d’une salle de réception, seulement le lustre trônait fièrement à terre et un trou béant se trouvait à sa place dans le plafond. La situation était tellement dérisoire que la jeune fille se retint discrètement de rire en voyant la mine anéantie du père et déconfite du fils. Elle les salua et parti en courant, galoper à travers la forêt. 
Au fond, la jeune fille n’était pas une rebelle, seulement au fur et à mesure qu’elle grandissait, elle développait le désir d’être seule ce que ses parents adoptifs lui accordait devenant trop vieux pour s’occuper correctement d’elle. Elle était, comme disait les habitants, spéciale, puisqu’elle était née dans un incendie, le même où sa mère et son père périrent après l’avoir vu une unique fois. Elle portait le prénom d’Iceline-Firen. Nom trop compliqué et étrange, on la renomma Mayla en l’honneur du pompier Mayland qui la sauva des flammes malgré la maison déjà en flammes qui l’engloutissait. Les ruines de sa maison la fascinait. Tout comme son prénom originel. Seulement personne ne pourrait lui dire quoi que ce soit. Tout ceux qui avait eu un lien avec cet incendie y ont péri ou sont désormais morts. Seul Jules Mayland, le pompier était encore là, mais il ne savait rien. La mère lui avait tendu le bébé et ordonné de se sauver lui et l’enfant. On raconte encore comment cet homme fait des cauchemars, se maudissant puisqu’il aurait pu sauver la mère et le père aussi.
En rentrant chez elle, par l’Avenue elle se fit aborder par les éternels play-boy de son lycée qui la saoulait tant. Se libérant enfin d’eux et leurs railleries, elle coupa par le cimetière et arriva chez elle aux alentours de 6 heures. Elle repensa à cette journée sur le bord de sa fenêtre, elle revit les yeux bleus pétillants du garçon. Les cheveux bruns et un sourire d’ange, Mayla savait déjà dans quelle catégorie le classer. 
Le lendemain de l’arrivée des Dentsangui, la ville ne parlait que d’eux. Certains voulaient aller chez eux les bastonner, d’autres leur apporter des corbeilles de voisins, tout était contradictoire… La jeune fille, elle, s’était cachée à l’étage de la gare. Rares étaient les personnes qui connaissaient son refuge. Du moins, tous les enfants l’ignoraient, tous sauf lui. Logique me dirait-on. Ce nouvel habitant entra dans la bâtisse faisant alors titiller la clochette. Mayla se figea l’entendant et regarda par la latte de plancher qui était l’intrus. Souriant à moitié en voyant le jeune garçon, elle reprit ses esprits et essaya de se décider pour savoir si elle le voir, ou si elle se cachait. Il ne la trouverait pas dans ce deuxième cas… Mais il découvrirait des choses ici, à cet étage que personne ne devait voir. Elle prit alors l’escalier de service et atterrit dans le bar. 
« Oui ? C’est qui ?
- Ah, hum, c’est moi, Matt, le nouveau… 
- Ah ! – feigna la jeune fille – je suis ici, enfin dans la pièce à droite.
- Salut… 
La jeune fille ne dit rien, profitant de la lumière intérieure pour l’observer. Après un moment d’observation exagérée et accrue, la jeune fille sortit du frigo une canette, prit deux verres et servit. Le garçon s’assit alors sur un des tabourets du bar et la remercia :
- Alors, qu’est ce que vous venez faire ici ?
- Heu… On a déménagé, ma mère voulait cette maison. 
- Vous avez quitté la Grande Ville pour Ergonous ? Juste pour ce manoir hanté ? Enfin ce manoir abandonné – se reprenant.
- Hanté ? Il l’est ? 
- Non, non bien sur que non ! – répondit-elle un peu trop rapidement.
- Mouais… Si la Grande Ville dont tu parles est Flacksy, oui c’est ça. Je ne voulais pas. Et j’en veux toujours à mes parents de m’y avoir obligé. J’aurais pu rester chez mes grands-parents mais non… Et toi, ça fait longtemps que t’es là dans ce trou paumé ?
- Je suis né ici, donc si tu dis quoique ce soit à propos d’Ergonous, vas-t-en.
Matt esquissa un sourire mauvais et répliqua
- T’a vu ce nom minable ? – il rit – Ergonous, quel nom pourri…
Mayla fronça les sourcils et tapa sur un petit levier sous l’évier. Le tabouret bougea et le jeune homme tomba. Elle souri et lui répondit malicieusement :
- Parle pour toi, Flacksy ? Ca fait penser à une flaque… ! Comme toi la maintenant – le désignant, avec son verre renversé et son T-Shirt trempé. – Maintenant pars, que je ne te revoie pas ici. 
- Tu crois quoi ? Que t’es supérieure à moi ? Tu délires ma vieille !
- Dégages !
- Je ne sais même pas ce que je suis venu faire ici, c’est con de ma part ! Mais pour ce qui est de ne jamais revenir, compte sur moi, sans parents va !
Mayla tiqua à ces mots. Comment savait-il ? Repassant un visage neutre, elle le regarda partir par la fenêtre. « Je ne me suis pas trompée sur son cas … Un pur macho… » Pensa-t-elle. Le genre qui l’avait suivi la veille. Elle remonta à l’étage et souleva le drap blanc découvrant une toile, dessus Mayla y avait peint l’évènement d’hier… Le train, l’horloge, le calendrier, tout y était, de même que les visages des deux hommes étaient plus nets, plus précis. Un pinceau sec dans les cheveux pour le chignon, Mayla sortit une autre toile et y peigna ce qui lui passa par la tête… La scène de la « dispute ».

PDV des Dentsangui

Le train ramait... On peut dire qu’il était coincé sur ses rails. Dans un compartiment, un homme habillé de noir, rouspétait dans le vide puisque son fils regardait le paysage défiler à la vitesse d’un escargot tout en écoutant sa musique avec son casque dernier cri. Au bout d’une demi-heure le train s’arrêta enfin dans une gare si déglinguée que le fils se demanda s’il n’y avait pas une âme qui vive dans ce coin plein de verdure. A quai, il n’y avait personne, même pas l’habituel chef de gare. Il n’y avait qu’eux, du moins c’est ce qu’il pensait jusqu’à ce qu’il voit, dans l’embrasure d’une porte, une jeune fille blonde… Quand ils descendirent, elle ne bougea pas. Son père lui demanda ensuite, quand ils s’approchèrent, si elle était la fille du chef de gare. Ce à quoi la jeune fille répondit par un éclat de rire et leur expliqua que non elle n'était pas la fille du chef de gare et évoqua le nom de Pinson, qui leur était inconnu..
Rien à faire, les deux hommes ne comprenaient rien. Matt ressentit tout de suite à quel point la jeune fille, était libre et débordante d’énergie. Ils lui apprirent qu’ils étaient les nouveaux propriétaires du manoir de la forêt. Elle leur montra le chemin. Mais son père l’obligea à les accompagner. En suivant la jeune fille, le jeune homme put remarquer que les gens les dévisageaient. Eux et elle… Il mit ça sur le compte du fait qu’ils étaient nouveaux.
La masure s’éleva enfin au bout d’une allée que l’on pouvait imaginer, couverte de feuilles et on n’arrivait pas à la distinguer de la forêt. L’adulte sorti un trousseau de clé et en essaya alors plusieurs avant de trouver la bonne. La porte s’ouvrit dans un couinement digne de ce nom. Et dès lors, il eut la même réaction que la fille, ils étaient bouche bée. Le hall était digne de celui d’une salle de réception, mais seulement le lustre trônait fièrement à terre et un trou béant se trouvait à sa place dans le plafond. Il entendit la jeune fille se retenir discrètement de rire en voyant la mine anéantie de son père et la sienne qui était pour, tout dire, déconfite. Toujours étonné, il remarqua vaguement que la fille s’était échappée. 
Matt s’attendait à tout quand ses parents lui avaient dit « Il faut qu’on parle chéri. » Tout sauf ça. Déménager à l’autre bout du pays. Dans une ville qui n’était même plus desservie par les trains… Vraiment tout sauf un manoir avec le lustre du hall d’entrée à terre et un trou dans le plafond. Il avait sorti tous les arguments pour jamais, au grand jamais, venir ici dans ce coin que tout Flacksy évitait. Aller chez ses grands-parents, chez sa tante qu’il n’aimait pas … Mais rien à faire, il était là, dans ce coin maudit avec un lustre à ses pieds… son père aussi ne s'y attendait pas mais reprit contenance et enjamba le lustre pour ouvrir les autres pièces tout en espérant ne pas y découvrir d'autres surprises. Matt prit la valise enjamba aussi le lustre et rejoignit son père après avoir déposé la malle au pied de l'escalier. On eut dit un escalier de palais mais si seulement ils savaient le drame qui s'était produit au tout dernier étage de ce même escalier. Son père avait déjà ouvert la penderie, le salon, la salle de billard et grâce à l'enfilade, le bar. De l'autre côté du couloir, il y avait bien une porte mais les deux hommes ne parvinrent pas à l'ouvrir. Les gamins vous diront qu'il s'agit du garage. L'escalier fait de marbre restait intact malgré le temps fort heureusement pour les Dentsangui !  En montant,ils arrivèrent devant deux grandes portes :
"C'était la salle de bal derrière il y a la salle à manger... - dit le père en regardant son plan jaunit donné par le notaire - ici - reprit il en désignant la porte de gauche le mini bar qui donne sur un balcon, il y a un escalier de service comme dans la salle à manger et de l'autre côté de cet escalier central ... 
- Et là, père ? Qu'y avait-il ? 
- Les salles d'eau, les toilettes si tu veux... 
- Ah ! Mais la porte en bas qu'est ce que c'était ? 
- Le garage d'invités, il y avait encore une autre pièce mais elle a été condamnée
- Puis-je aller voir le 2ème étage père ? 
- Je monte avec toi ..."

Bon et bien voilà...  J'espère que cela vous a plus ? 

Demain sûrement un poème ;) ou deux :D 
Bijoux et profitez bien de votre dernier jour de vacances pr se reposer avec une bonne lecture (non non je sous entendais pas forcément la mienne mais quoique ... :p) 
Bref 
A demain ;) (promis !)
Liza 

jeudi 1 janvier 2015

2015 et bonnes choses ! 😍

Hello tout le monde !! J'espère que vous avez passé un bon réveillon ! Je vous souhaite donc un excellente nouvelle année, plein de bonheur, santé et succès à tout ceux qui me lisent ! 

J'avais dit que je vous écrirais la suite de Ergonous le 31 mais disons que ma journée fut plutot remplie ... J'ai bien essayé le soir d'écrire une histoire de Sissi ... Mais rien ... Je n'ai pas le "Ding" d'inspiration.... 

J'ai donc au final écrit l'histoire de mon réveillon mais comment vous dire, a part le fait que je ne retrouvais pas la recette de mon glaçage pour ma maison en pain d'épice, que du coup je commençais à stresser, voulant que tout soit parfait... Je trouve quand même la fameuse recette Ikea sur internet et me mets à la pâte avec une fourchette en guise de fouet... Une fois finie elle n'est pas telle qui me faut pour la mettre dans une douille .. Je craque et come ce a a m'énerver ... J'essaye d'étaler la pate pour assembler et coller les différents éléments... Sous ma colère je casse le mur de la maison ... Enfin après un libre cours d'idée sur une marche je repars sur la maison plus sereine me disant que ça sert sa rien de m'énerver contre ça .. C'est la premier fois que j'essaye et c'est donc normal que ça ne marche pas du premier coup.. Or moi qui suis une pâtissière avertie, cela me désole un peu mais après quelques câlins et une minutie laborieuse, ma maison est debout et tient ! Le glaçage fait office de neige et le tout donne la maison à croquer ! 

Voilàa.. Vous pouvez même voir le bout casse la ^^ et recolle ^^
D'la neige, de la neige partouut !!

Une petite pause devant notre home cinéma tout nouveau, tout juste installé nous permet de faire le décompte russe (étant à moitié russe) avant de trinquer pour justement le nouvel an russe ! Enfin 2 heures plus tard nous trinquons à la française et Adieu 2014 ! 
Voili voilou le réveillon de votre blogueuse .. Et vous ? Ça c'est passé comment ?

Maintenant je voudrais vous dire Merci pour lire mes post, venir régulièrement sur le blog ! 2014 m'a permis de créer ce nouveau blog, que celui vive encore longtemps ! Et cela pourra se faire grâce à vous ! 

Je rajoute aussi que Ergonous je vous le poste demain comme ça vous verrez l'histoire qui marquera 2015 ! Je vais faire en sorte, cette fois ci de finir cette histoire et essayer de la publier dans un concours ou la publier tout court ? ;) je vous tiendrais au courant et maintenant place aux bonnes résolutions !

Je vais faire en sorte que une fois par semaine, le lundi dans l'après midi vous ayez la suite d'Ergonous soit si ce n'est pas une suite assez longue.. Des poèmes, des histoires de Sissi, chroniques, conseils et tout ... Bref le LUNDI - jour de post ! Si je peux je publierais d'autres jours mais déjà tous les lundis me semble raisonnable pour moi et mes résolutions personnelles comme travailler un peu plus chaque soir, etc.. 

PS : vu que c'est encore les vacances je vais essayer de poster tous les deux jours x) donc demain, et dimanche et le post du LUNDI commencera donc le lundi de la rentrée, le 5 janvier 2015 ! 

Bonne année bonne santé mais le chat le dit mais lui la commence au chaud...
Bizouw de nous deux et à demain ! 😘