Aujourd'hui, vieille histoire, une des premières que j'ai écrite.
-------------------------------------------------------------------------------------------------
La tour de Noël.
Sissi marchait dans la neige, regardant au loin les
montagnes s’élevant au fur et à mesure qu’elle avançait vers elles. Il faisait
froid. Quand minuit sonna au loin, au son des cloches de l’église du village,
au sommet de la plus haute montagne, une lumière fut.
Sissi fronça les sourcils en voyant cette lumière, alors
glissa son sac sur les deux épaules, attrapant sa jupe, elle se mit à courir
vers la cabane qui était au pied de cette montagne même.
Dans cette cabane, se trouvait un télésiège, elle le mit en
marche et s’y installa pour monter au plus haut, rejoindre cette lumière.
Sissi sauta à terre et se dirigea alors vers le pic
lumineux. Sa maison devrait être là mais à la place se dressait une tour
gigantesque. Sissi laissa échapper un hoquet de surprise et alors une tête
sortit d’une porte au pied même de cette tour.
Un homme blond, son père, le scientifique, il fallait s’en
douter, il fallait qu’elle parte deux semaines chez Matt, son cousin, de
l’autre côté de la vallée, pour laisser champ libre aux inventions de son père.
« Sissi, tu m’as fait peur, entre donc. »
La jeune fille entra, laissant une bise sur la joue de son
père. Elle écarquilla les yeux devant le spectacle qui se dressait devant
elle : plusieurs étages, avec des engins volants, que pour certains elle
avait vu auparavant, mais le plus impressionnant était le sapin d’un hauteur
indéterminée, il touchait carrément le plafond. Et sur ce magnifique sapin, des
petits lutins, s’acharnaient à mettre les boules, les guirlandes, tout ce
qu’ils avaient sous la main.
« Ouah ! »
Un chien arriva et lui lécha la main.
« Voici ton cadeau de Noël, Joyeux Noël mon
impératrice. » - dit son père en s’inclinant.
Sissi sourit, un chien ! C’est le plus cadeaux qui que lui avait fait
son père jusque là, car avant c’était souvent ses inventions qui avaient mal
tournées à la fin, comme sa poupée qui finit par s’autodétruire.
Deux semaines passèrent depuis Noël quand au même moment de
la nuit, la tour grinça.
-------------------------------------------------------------------------------------------------
Si vous voulez, je pourrais essayer d'imaginer la suite :) :p
Voilà donc le papier du jour :p Aujourd'hui non plus je suis pas très bavarde mais bon c'est pas grave, le prochain sera sûrement une "Chronique" ou une critique dans la catégorie "Bouquins et Films" :)
Allez, je vous laisse, bonne lecture !
L. A la prochaine.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci à toi, lecteur, de poster ce commentaire ! Postes ce que tu veux, des critiques, remarques, appréciations, tout est bon ! L.